| Jean Racine - 1860 - 696 pagine
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi...mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler: Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus, et ses feux redoutables,... | |
| Voltaire - 1860 - 636 pagine
...une autre qui parlât de la passion du Phèdre. (Acte I", scène 3.) Athènes me montra mon superbt ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue....mon âme éperdue Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler; Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
| Voltaire - 1860 - 644 pagine
...images : alors l'auteur dit précisément les mêmes choses que dirait la personne qu'il introduit : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; « Un trouble...mon âme éperdue. Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler. Racine, Phèdre, acte I, scène in L'imagination alors ardente et sage n'entasse point... | |
| Jules Gabriel Janin - 1861 - 550 pagine
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables...... | |
| Pierre-Marie Quitard - 1861 - 438 pagine
...l'objet offert à ses yeux fascinés : l't vidi, ut pêrit, ut me malus abstulit error. (Éclog. vin.) Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue, Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue. (Acte I, se. v.) C'est ce qu'on appelle le coup de fondre en amour, dont l'article suivant donnera... | |
| Jean Racine - 1862 - 684 pagine
...d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur semblait être^ffermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi : Je le vis,...rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mou âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| William Ireland Knapp - 1863 - 468 pagine
...loin. A peine au £ Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée, Mon repos, mon bonheur, semblait être affermi ; Athènes me montra mon superbe ennemi...mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
| Ludwig Herric - 1863 - 980 pagine
...Rede der Phädra, wo sie der Oenone die Entstehung ihrer Liebe zum Hippolyt erklärt. Athènes гас montra mon superbe ennemi : Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue ; Un trouble s'éleva dans mon dîne éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais pleurer; Je sentis tout mon corps et transir... | |
| P. Barrère - 1863 - 576 pagine
...arrache à Phèdre, inspire plus de pitié que d'indignation. Je le vis, je rougis, je palis à su vue : Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue ; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler ; Je sentis tout mon corps et transir et brûler. Je reconnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
| Jean Racine - 1864 - 702 pagine
...peine au fils d'Egée Sous les lois de l'hymen je m'étais engagée , Mon repos, mon bonheur semblait être affermi; Athènes me montra mon superbe ennemi...mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler : J« reconnus Vénus et ses feux redoutables,... | |
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